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 | Alexie |

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| Alexie | Empty
MessageSujet: | Alexie |   | Alexie | Icon_minitimeJeu 4 Juin - 12:31

... My past, a painful memory ...


  • A peine né je devais déjà subir les colères de mon père. Ma mère avait espérée qu’avoir un deuxième enfant le ravirait à tel point qu’il cesse de boire et de s’enfoncer dans l’alcool. Mais bien au contraire. Il fut de plus en plus accro à cette drogue liquide qui le pourrissait de toute part. Alors que ma mère prenait déjà beaucoup de poids et que son jolie ventre rond se dessinait sur sa silhouette, mon père commençait à être un peut violent. Il lui donnait souvent des coups de pieds dans le ventre. Pourtant il se confondait en excuses après ces horribles actes, il regrettait et il était sincère. Mais l’alcool le faisait rendre fou. Même aux alcooliques anonymes ils ne pouvaient plus rien espéré de lui. Il était fichu comme ils disaient. A ma naissance, il ne cacha pas son bonheur d’avoir une petite fille. Mais bien des fois il manquait de peu de me laisser tomber a terre par maladresse. Dû à l’alcool naturellement … Ma mère l’aimait toujours bien entendu. C’était son mari et l’amour, même avec cette douleur ne s’effaça pas. Ni pour l’un, ni pour l’autre. On me présenta à mon grand frère Vincent. Ravis d’avoir une petite sœur il fut très prévenant avec moi. Dès qu’il sentait venir arriver les colères de mon père, il me prenait dans ses bras et on allait se réfugier dans sa chambre qu’il fermait à clé, et on jouait en attendant que l’orage passe.


  • Pourtant, les années passèrent. Je grandissais, mon frère aussi, mes parents vieillissaient et se disputaient de plus en plus. Une fois, alors que j’avais 7 ans et Vincent 12, nous avons entendu papa crier qu’il aurait la peau de maman, qu’il voulait divorcer et ne plus entendre parler d’elle. Que s’il fallait il allait lui régler son compte pour avoir notre garde. Maman était effondrée, apeurée. Papa était de plus en plus violent, même après nous et d’ailleurs de plus en plus.


  • Un soir, alors que mon père était rentré ivre mort d’une soirée avec les voisins, ma mère en a profiter pour venir nous réveiller moi et mon grand frère. J’avais alors 11 ans. Nous nous dépêchâmes de prendre le stricte nécessaire pour notre fuite et sortîmes tous trois de la maison en alarme. J’avais très peur que papa ne se réveil et ne nous pourchasses. Mais il dormait, immobile, assis dans son canapé, la télé toujours allumée : un match de foot, un liquide se rependant sur le tapis. J’avais pourtant une envie de le prendre une dernière fois dans mes bras, d’embrasser une dernière fois son gros front et lui dire que je l’aimais. Mais il nous avait tant fait souffrir. Je ne comprenais pas d’où venait cet étrange sentiment de peur et de regret que j’avais à quitter la maison et mon papa. Mais oui mais après tout, c’était mon père, on géniteur. C’était difficile. Mais je n’ais rien dis ni à Maman, ni à Vincent. Ils n’auraient pas compris …


  • Les années passèrent. On avait trouvé un petit studio où résider avec maman et Vincent. Mais on vivait assez mal. Maman tombait tout le temps malade et Vincent était obligé de trouver du travail pour que l’on puisse survivre convenablement. Ils trimaient tout deux et moi, trop jeune, je ne pouvais encore rien faire. Je m’endormais souvent avec le souvenir de nos soirées en famille où mon papa me faisait faire l’avion dans le salon sous les rires et les cris de Vincent tandis que ma mère souriait en nous appelant pour le repas. Ou bien je faisais d’horribles cauchemars. Le visage tout rouge de mon papa, déformé par la colère, me poursuivais en criant « j’aurais ta peau » ! Maman me rassurait, me disant qu’il ne pourrait plus jamais nous faire du mal … je la croyais. Du moins je m’y forçais. Par chance, je pouvais toujours allé à l’école. Mais j’avais toujours peur que se soit papa qui vienne un jour me chercher, ou ne m’enlève dans sa voiture pour faire du chantage à maman et Vincent.


  • Et lorsque j’eus la fleur de l’âge, que j’atteignis mon adolescence en la vivant le plus beau possible, je me faisais des amis et découvrait réellement la ville de Tokyo. A 16 ans je me rendis compte alors que cette ville était terrifiante, sale et perverse. J’en pris presque peur et une sale horreur même !


  • Et puis vint l’horrible jour où la police débarqua chez eux. On les emmena sa mère et elle de force au commissariat. Là on la bouscula, lui posa plusieurs questions dont elle ne comprenait pas tout. Elle répondit comme elle pouvait mais ces moments l’avaient traumatisés. Finalement elle comprit assez vite : sa mère avait assassiné son père. La jeune fille, effondrée ne savait comment réagir. Elle aimait sa mère, elle aimait son père. Qu’est ce qui avait bien put leur passé par la tête a tous les deux ? Et où était son frère ? On avait beau lui poser la question elle n’en avait aucune idée. Et maintenant tout devint clair. L’esprit d’Alexie analysa tout. Son père ne s’était pas endormi dans le canapé, et le liquide qui coulait sur le tapis … son père était mort lorsqu’ils avaient fuis la maison ! Sa mère l’avait tué ! C’était impensable ! Voilà pourquoi ils vivaient cachés et que maman ne cessait de leur répéter qu’il ne pourrait plus jamais leur faire de mal ! Ce devait être un cauchemar … elle en voulut énormément a sa mère après cela. C’était tout de même son père …


  • Sa maman fut mise en prison, quant à elle on la plaça dans un orphelinat, n’ayant pas atteint encore sa majorité. Mais son frère réapparut enfin ! Il la sortit de cet endroit et ils choisirent une famille d’accueil, une famille charmante et ravissante qui les accueillirent à bras ouverts. Malheureusement Alexie avait changée du tout au tout. Toute cette horreur l’avait plus que traumatisée. Elle en devenait folle, des excès de fureur l’emportant souvent contre les membres de la famille, et aussi contre son frère. Mais surtout contre les autres … elle eut alors l’imprévisible besoin de faire payer. Elle tua beaucoup de gens. Des policiers, des avocats ayant eut un lien avec l’affaire de sa famille, leurs anciens voisins également, et aussi des innocent, l’ayant mise très en colère, une telle fureur qu’elle leur ôta la vie …
    Bien entendu elle fut mise en prison. Elle n’avait pas cherché à se couvrir, a faire disparaître des preuves. Tout ce qu’elle voulait c’était se venger le plus possible ! Peut importait les conséquences ! Et même son grand frère n’avait rien put faire pour l’en empêcher, ni pour éviter son incarcération …


  • Elle fut donc envoyée dans une prison pour femme. Elle ne se peignait jamais, ne parlait à personne, ne faisait pas d’amies, ni d’ennemies pour autant d’ailleurs. Elle restait calme, ne parlait ni d’elle ni de son passé, se renfermait complètement. Et finalement, une seule personne arrivait à lui faire desserrer les dents pour parler un peut : une jeune femme du nm d’Adelaïde qui avait assassiné deux de ses bébés juste après leur naissance. Un jour, celle-ci lui apporta une lettre de son frère. Alexie la lut : il y avait toutes les indications pour s’évader. Son frère avait tout organisé depuis des mois. Elle allait enfin sortir ! Adelaïde lui apporta son aide et elle s’évada avec son frère. Elle n’ouvrit pas la bouche, se contentant d’étreindre son grand frère pour remerciements. Ils se cachèrent longtemps tous les deux. Mais leur liberté ne dura pas longtemps … on finit par les débusquer tous deux. On les sépara. Alexie appris qu’il avait été envoyé en prison lui aussi. Quant à son cas à elle, on décida qu’il fallait une meilleure punition désormais. C’est ainsi que plusieurs mois après, alors qu’Alexie fêtait ses 20 ans, on la fit monter dans un bateau pour une île étrange … Anguish …
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MessageSujet: Re: | Alexie |   | Alexie | Icon_minitimeVen 5 Juin - 11:44

... And Now, The present’s Song ...


  • Tout est noir, je n’arrive toujours pas à bouger un seul membre de mon corps. Où suis-je déjà ? Que s’est-il passer ? L’esprit embrumé, je tente de rassemblé mes souvenirs et mes idées. Lorsqu’enfin j’y parvins, j’aurais aimé crier, me secouer mais je ne pouvais rien faire. On m’avait fait une piqure quelques heures plus tôt. Certainement ces satanés produits qui vous font dormir durant des heures pour que vous vous teniez enfin tranquille. Je hais les médecins ! Ils ne m’ont jamais été d’une quelconque utilité de toute manière ! Je me rappel maintenant lorsqu’on m’a sortit de ma cellule pour me faire sortir du bâtiment, me faire prendre une voiture.


  • A ce moment là je ne savais pas du tout où est ce qu’on m’emmenait et je ne bougeais pas plus que cela. Mais lorsque nous arrivâmes au port je compris que l’on m’emmenait certainement dans un autre état, peut être un autre pays où la peine de mort était d’ordre qui sait … mais je ne voulais pas quitter mon pays ! J’étais née, avait grandis ici et en plus, mon grand frère ne le quitterait pas, lui, ce pays où nous avions partagés tant de choses ensemble ! Je m’efforçais d’échapper à la poigne féroce des gardes qui me firent sortir du véhicule puis marcher vers ce vieux bateau blanc crasseux et grillagé de partout. On m’y jeta comme un vulgaire sac de pomme de terre, et, à peine us je le temps de me remettre sur mes pieds que de nouveaux gorilles ma saisirent pour me faire descendre dans la casse et assoir sur un des fauteuils capitonnés.


  • On me posa des questions auxquelles je ne répondis pas. Finalement, je saisis ma chance alors que le bateau démarrait à peine et que les gardes me tournaient le dos pour me projeter à l’extérieur de la cale. Malheureusement, au dernier moment, on m’agrippa la cheville. J’avais beau hurler, me secouer dans tous les sens, donner des coups, rien n’y fit il teint bon et me traîna de nouveau vers l’intérieur. Il me repoussa avec force sur le fauteuil et tandis qu’on me piquait et me mettais des sangles aux bras et aux jambes on grillageait la porte et je m’assoupis bien vite, ne pouvant lutter plus longtemps contre les effets de ce poison …


  • Maintenant, la brume qui m’avait envahis le cerveau et l’engourdissement pesant que je ressentais dans tous mon cœur, montrait que je reprenais mes esprits peut à peut. Ils allaient payer, furie que je suis maintenant, de m’avoir traité ainsi et de me retenir enfermée. Je ne voulais pas partir. Mais depuis combien de temps déjà étais-je sur cette banquette, endormie ? Quelques minutes ? Quelques heures ? Plusieurs jours ?


  • Enfin, au bout d’un certain moment, j’ouvris complètement les yeux et me redressais. J’étais en cadré par deux gorilles, les deux autres jouaient aux cartes en fumant une cigarette. Je demandais un verre d’eau, on me fit boire et je me tus. Mais bien vite je me rendis compte que le bateau ne bougeait plus, ne faisait plus aucun bruit. Alors ils me saisirent tous pour me faire sortir du bateau. Encore une fois je tentais de m’échapper en griffant, mordant ces hommes, me secouant, me révulsant dans tous les sens, hurlant mais sans plus de succès …


  • Au final, je ne gagnais qu’un allé gratuit pour le pays des rêves lorsque, quand nous eûmes mis pieds a terre, une infirmière à tête de sourie me planta de nouveau une seringue dans la fesse. Je sombrais, encore, sans pouvoir rien faire, une haine se répandant dans tous mon corps
.

  • Quelques minutes plus tard, je rouvris enfin les yeux. A peine remise de mes émotions, je sautais sur ses pieds en position de défenses, regardant tout autour d'elle. Je ne me ferais pas ravoir une seconde fois ! Ma tête me tournait mais je n'y faisais pas attention. Je préférais getter tout danger qui pourrait apparaître. Finalement, lorsque je dus avouer que j’étais bien seule, je travaillai à observer les alentours. J’étais apparemment sur une paillasse de pierre, derrière moi il y avait une porte, au loin de la végétation, à l'horizon rien que l'océan.


  • Je soupirai, passai une main a ma nuque douloureuse pour la décontracter un peut. Finalement je me résolus à tourner les talons, faisant face à la porte d'entrée d'une sorte de château. De toute façon que pouvais-je faire d'autre ? J’inspirai profondément puis poussai la grande porte, pour atterrir dans un grand hall gigantesque. Au fond, un escalier avec un étage supérieur et des portes en continue. Sur les cotés sois des murs sombres, sois d'autres portes ... très accueillant. Et tout était vide. Personne ...
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MessageSujet: Re: | Alexie |   | Alexie | Icon_minitimeVen 5 Juin - 11:47

... A suivre ... My first meetings ...
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MessageSujet: Re: | Alexie |   | Alexie | Icon_minitime

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