Don't look at me [U.C]

La pièce était étroite et très sombre. Le peu de lueur de jour présent était celle qui traversait la grille qui menait sur le mur en béton gris foncé de l’immeuble d’en face.
Dans cette pièce il n’y avait qu’un vieux banc bleu à la peinture éclatée.
Ander était assis sur ce même banc, enfermé dans une cellule de la prison de Pagota à quelques pâtés de maison de son appartement. Il passait le temps en grattant la vieille peinture, attendant qu’on vienne enfin le chercher.
Il commençait à grelotter car il était trempé jusqu’aux os depuis bientôt plus d’une heure et on avait refusé de lui prêter un change …
La tête baissée, il regardait les gouttes qui tombaient de ses cheveux, choir dans une petite flaque déjà formée à ses pieds.
Il avait terriblement mal au crâne, était à bout de force. Comment avait-il put se mettre dans un pétrin pareil ? C’était forcément un cauchemar et il allait se réveiller …

Après plusieurs minutes à ruminer et juste avant que ne coule une larme sur la joue d’Ander, la porte de la cellule s’ouvrit en un grincement léger et agaçant. La lumière aveuglante des néons de l’extérieure éblouie un moment le jeune homme puis il distingua deux silhouettes. L’une d’elle, un policier en uniforme, s’approcha, lui passa les menottes et l’obligea à le suivre à l’extérieure. Le deuxième homme un petit brun trapus à l’imper couleur kaki l’observait, mordillant un cure dent coincé entre ses lèvres, l’air sombre.
Ils traversèrent un long couloir sans fenêtre et le firent entrer dans une salle au bout du couloir. Il y avait pour seuls meubles une grande table et deux chaises, des caméras au plafond et deux petites lucarnes placées très haut sur un des murs. Un grand miroir prenait tout l’autre mur d’en face.
Une salle d’interrogatoire nota immédiatement Ander. Ils avaient enfin décidés de la cuisiner. Il allait surement être, malmené, menacé, tourmenté pendant des heures jusqu’à ce que les policiers aient entendus ce qu’ils voulaient…
Seulement voilà, Ander ne leur dira jamais ce qu’ils voulaient entendre…
Le policier en uniforme le fit assoir sur une chaise et lança un regard à l’homme à l’imper.
« Enlevez les lui » Dit celui-ci. Il avait une voix douce, un soupçon aigu, irritante mais en tout cas elle ne laissait pas de doute, cet homme était sur de lui et déterminé. Déterminé à avoir ce qu’il voulait, rapidement, en terminer le plus vite possible pour rentrer chez lui rejoindre sa petite femme. Déduction d’Ander d’après l’alliance qu’il portait à son annulaire gauche. Et peut être même avait-il des enfants.
Lorsqu’Ander eut enfin les mains libres il se frotta les poignets et les posa, doigts entrecroisés sur ses genoux, le regard baissé.
Le policier sortit en refermant la porte derrière lui. On entendit la clef tourner dans la serrure mais pas de pas s’éloigner. Il devait certainement rester poster près de la porte pendant l’interrogatoire.
Ander ne bougea pas, se contentant de fermer les yeux et d’écouter sa respiration qu’il tenta d’avoir régulière.
*faites que ça s’arrête* pensa-t-il.
Alors que les images de ces dernières heures passaient dans sa tête :
Le visage de cette femme, sa peau douce, ses grands yeux gris et sa longue chevelure rousse, son scorpion tatoué dans le bas de son dos, ses hanches cambrées au dessus de lui … et plus tard son propre reflet dans le miroir, la grimace qu’il fit avant de prendre le petit scalpel posé sur le lavabo dans la salle de bain qu’il venait de verrouiller alors qu’elle dormait encore dans la chambre à coucher…
Il avait fait une grand entaille en partant de l’épaule jusqu'au plis du coude à l’intérieur de son bras. Il avait serré les dents de douleur mais ne contait pas s’arrêter là. Lorsqu’il avait entaillé son torse de son épaule droite jusqu’à sa hanche gauche d’un geste rapide et plein de rage il s’était mis à trembler, les dents toujours serrées, regardant son corps nu dans le miroir avec un air dégouté.
Il avait craché sur son reflet tendis qu’une larme coulait le long de sa joue puis mis un grand coup de poing dedans. Le miroir s’était brisé et de grands morceaux de verres s’étaient répandus dans le lavabo et au sol. Il s’était laissé tomber a genou, la lame du scalpel serrée dans sa main lui faisant un mal de chien qu’il avait à peine ressentis à cette instant. Il fut ensuite secoué d’un sanglot.
Il aurait du alors s’être douté de quelque chose… avec ce bruit elle aurait dû se réveiller et venir voir ce qu’il trafiquait dans la salle de bain en plein milieu de la nuit après avoir fait rageusement l’amour pendant presque 1 heure et demi, comme des bêtes enragées, affamées, blessées... mais non, rien.
Il avait finit par rouvrir les yeux et était tombé de nouveau sur le reflet de son visage dans un des morceaux du miroir tombé au sol. Il avait alors lentement levé le scalpel d’un geste plus que tremblant et commencé à s’entailler rageusement le visage à plusieurs reprises.
Le sol de la salle de bain avait été recouvert de sang tout comme le fond du lavabo et Ander s’était sentit très mal. Il avait terriblement froid, voyait flou et tremblait de tout son corps. Il avait perdu beaucoup de sang, n’avait pas mangé depuis des jours … il s’était alors évanouis dans son propre sang …
Il s’était réveillé quelques jours plus tard dans un hôpital. Il n’y resta pas longtemps car la police vint vite le chercher pour le placer en cellule. On lui annonça seulement qu’il était premier suspect dans le meurtre de Karyn Bailey, la jeune femme qui avait passée une partie de la nuit avec lui …
Et maintenant il se retrouvait dans cette salle avec cet homme à l’imper kaki surement venu le cuisiner sur ce meurtre qu’il n’avait pas commis …
Il pris une grande inspiration et releva la tête pour fixer le grand miroir face à lui qui lui renvoya son reflet. Ander serra alors les dents lorsqu’il découvrit son visage. Il était recouvert de cicatrices plutôt minimes qui avaient l’air de bien cicatriser. En outre, il s’était loupé.
Ander trembla de rage et se leva brusquement, faisant tomber sa chaise puis fit valdinguer la lourde table dans un hurlement de douleur et de colère.
L’homme à l’imper réagit très vite et plaqua le jeune homme avec force contre le mur en béton tandis que la porte de la salle s’ouvrait. L’homme plongea un regard lourd de menace dans les yeux humides d’Ander mais fit un geste pour signaler au policier qu’il avait la situation en main. A cet instant, une jeune policière entra, un dossier à la main et l’air hésitant.
Pendant un instant les deux échangèrent encore ce même regard puis l’emprise se desserra et Ander put se détendre un peu plus. Non pas que l’homme lui faisait peur mais il le mettait mal à l’aise.
La jeune policière fit un pas en avant et s’adressa à son supérieur :
« Mr Galliera ? Le dossier Avarez monsieur … »
Ander jeta un regard à la jeune femme et eu un sourire un coin en voyant qu’elle aussi se sentait très mal à l’aise en présence de ce monsieur Galliera. Elle regarda alors Ander, eut un petit air étonné et lui assigna un joli sourire. Celui d’Ander s’évanoui aussitôt et il rebaissa les yeux.
« Et bien maniez vous Annoli ! Ne restez pas planté là ! Venez m’aider plutôt¡ »
La jeune policière eut un sursaut et remis en place les meubles avant de poser le dossier sur la table, lancer un dernier regard à Ander et enfin quitter la salle rapidement.
« Maintenant tu arrêtes tes conneries et tu t’assieds »
Ander obéit et repris sa place sur une des chaises face au miroir. L’homme resta debout et ouvrit le dossier. Il commença alors :
« Ander Victore Avarez né le 10 Février 1986 à Barcelone. Né de parents peu aisés vous élevant dans un milieu peu épanouissant dans les vieux faubourg de la ville. Enfance calme sans casier avant l’âge de 22 ans. Complicité d’agression et de viol sur mineur … »
« C’est faux. Je n’y étais pour rien, j’ai été innocenté. »
« Bien sur … vous êtes un innocent retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment … c’est bien entendu également le cas dans cette affaire monsieur Avarez, je me trompes ? »
Son ton était bourré d’ironie. Bien sur il ne l’avait jamais crus innocent dans aucun de ces deux cas … inutile de tenter de le raisonner. Plus vite se sera finit, mieux il se porterait.
« Donc… vous êtes en effet relâché après qu’un témoin ait dit vous avoir vu tenté de secourir la jeune femme et non participer. Mouais … sacré témoin ce clochard à moitié soul ! Vous avez fait des études de médecine que vous avez abandonné avant de passer l’examen pour l’obtention de votre diplôme … belle connerie. C’est certainement ce qui vous perdra …
Vous avez ensuite fait des petits boulots de tous genre puis pris un studio dans le centre ville … moi ce qui me paraît louche quand je lis ça c’est que vous ayez pus vous payez un logement aussi bien situé avec le peu de moyen que vous deviez avoir … à moins qu’il n’y ait eu un rapport avec le meurtre de vos parents quelques mois plus tôt … »
« Qu’entendez vous par là »

« Et bien au final vos parents avaient réussis à amasser un bon petit pécule à votre intention au cas où ils viendraient à disparaître … »
« Je n’ai pas tué mes parents !! Quand allez vous arrêter de m’accuser pour des choses que je n’ai pas faites et où à chaque fois j’ai été jugé innocent ?! »
« Pour manque de preuves monsieur Avarez … pour manque de preuve. Et non pas parce que vous étiez totalement innocent. »
Ander crut qu’il allait étrangler ce monsieur Galliera. Puis il se ressaisit. Bien sur … il tentait seulement de le faire sortir de ses gonds. Il voulait le faire craquer pour qu’il avoue tous ses crimes qu’il n’avait pas commis.
Ces parents avaient en effet été sauvagement tués il y a de ça 1 an et demi à leur domicile. On avait retrouvé sa mère égorgée dans la petite salle d’eau et son père criblé de coup de couteau et éventré dans la petite arrière cours. Et bien entendu ils n’avait trouvés aucune preuves. Ce qui avait mis les policiers sur sa trace était ces témoins qui l’avaient vu rendre une visite à ses parents puis ressortir une demi heure plus tard l’air agité voir effrayé ont-ils dit. Forcément quand on apprend que son père est en phase terminale d’un cancer des poumons on en sort pas en sifflotant, un grand sourire aux lèvres. Et puis son ADN un peu partout dans la maison … logique quand on sait qu’il y a passé des années dans et qu’il rend visite à ses parents chaque semaines.
Ander soupira et s’appuya contre le dossier de la chaise.
« Et aujourd’hui vous êtes ici pour le meurtre de Mlle Karyn Bailey dans une la chambre d’hôtel que vous avez loué. On a retrouvé la jeune femme égorgée (notez la coïncidence avec le meurtre de votre maman) dans la chambre sur le lit. Puis vous dans la salle de bain ,baignant dans votre propre sang. Alors voici le scénario : Vous montez avec cette jeune femme dans la chambre, puis vous la violez avant de vous enfermer dans la salle de bain et de tenter de vous donner la mort. C’est compréhensible. Après tout c’était votre deuxième vol ainsi que votre troisième meurtre … »
« Violée ? Non mais c’est n’importe quoi je ne l’ai pas violée ! Elle était tout à fait consentante et je n’ai absolument pas tenté de me donner la mort ! »
« L’autopsie de la jeune femme montre qu’elle à subit un rapport sexuel très violent. Et vous avez avoué à l’hôpital que vous vous étiez donner vous-même ces horribles coup dans le but, je cite « d’en finir »… une explication ? »
« Oui. Je n’étais pas bien moralement ce soir là et je devais me défouler. Ce n’est pas que j’aime faire l’amour avec des femmes … encore moins des hommes d’ailleurs. Mais c’est comme sa que j’ai appris à me libérer. Et mes rapports sont toujours très violent mais je choisis la personne avec soin. Elle est prévenue. Le soucis c’est que … je ne me supporte pas physiquement. On ne m’apprécie que pour mon physique. J’ai toutes les femmes qui rampent à mes pieds et c’est insupportable de ne pas être apprécié pour ce que je suis vraiment. Alors j’ai voulu me défigurer pour en finir avec cette popularité idiote ! Et elle avait dit que j’étais beau … ça m’a mis hors de moi … »
« Alors vous l’avez tué. »
« Non ! Jamais je ne tuerais qui que se soit enfin ! Je vous l’accorde je ne suis peut être pas très bien dans ma tête mais je ne ferais de mal à personne ! »
« Je vous le confirme monsieur Avarez. Vous êtes un grand malade … avez-vous quelque rapport avec un certain Carson Bailey ? »
« Je .. non, qui est-ce ? »
« Ne faites pas l’innocent. Le frère de la jeune femme que vous avez assassiné et lui aussi un grand malade … peut être est ce un petit règlement de compte personnel pour atteindre ce Carson monsieur Avarez, j’ai pas raison ? »
« Vous délirez complètement … vous êtes monstrueux de dire des choses pareils, je n’ai tué personne ! »
Galliera agrippa alors avec force le T-shirt d’Ander, le fit se lever et le plaqua violemment contre le mur. Le jeune homme en eut le souffle coupé.
« C’est vous le monstre espèce de taré !! Alors maintenant tu vas arrêté de faire le malin ou je te jure que je vais m’assurer que toutes tes prochaines vies soient un enfer des plus horribles !!! »
« Je… je n’ai rien fait. Laissez moi tranquille… »

Quelques minutes plus tard, épuisé peut être autant qu’Ander, Galliera stoppa la séance et renvoya Ander dans sa cellule. Il n’avait rien put obtenir de lui, pas le moindre petit aveux …
Et plusieurs jours plus tard, après d’autres nombreuses heures de questions et de hurlements, on appris à Ander qu’il allait être transféré dans un autre établissement plus approprié où il aurait tout le temps de réfléchir à ses actes. Il fut même diagnostiqué psychopathe et malade mental … pourtant Ander ne pouvait pas être envoyé en prison sans jugement mais on lui annonça que ce n’était pas vraiment une prison, du moins pas comme les autres. C’était un établissement spécial où il serait libre de ses mouvements mais dûment surveillé. Cet établissement se nommait Prison of Anguish …

Depuis toujours idolâtré, il charme n’importe quelle personne par son charisme et son calme. Il a donc, sans vraiment le vouloir, eut à peut près tout ce qu’il désirait sans gros efforts. Pourtant c’est loin d’être quelqu’un d’égoïste, manipulateur et narcissique, bien au contraire !
Mais il est généralement incompris. On le dit psychopathe, manipulateur, malade mental et on en passe et des meilleures… Diagnostique fait après être soupçonné de meurtre et de viol.
Depuis son arrivée à Anguish, il peut toujours autant plaire par sa beauté mais il peut également faire froid et sombre du coup, peut sociable, quelqu’un à qui on a pas forcément envie de papoter ou devenir amis. C’est vrai qu’il fait très détaché, presque snob si on ne le connait pas.
En réalité Ander est quelqu’un de dynamique, ambitieux et courageux. Il est très aimable, aime aider les gens, être à l’écoute et à beaucoup de respect pour les gens. Il à peut être une sale manie de juger les gens un peu trop vite et à toujours du mal à nouer de nouvelles relations.
Ander est asexuel. Il n’aime ni les femmes, ni les hommes. Il ne s’aime d’ailleurs pas lui-même. Mais il se rattrape en amitié car en effet, on ne peut espérer meilleur ami fidèle que lui.
Il n’aime pas trop être entouré, être dans une foule, face à plein de personnes qui l’observe, il évite donc les endroits trop fréquentés. Il évite également le contact qui le met mal à l’aise.
Il est en général très pacifique et non violent mais depuis son arrivée ici il a bien compris que sa ne ferait que le tuer. Du coup Ander se rebelle, fait beaucoup de sport et se montre un peu plus agressif quand il le faut.

Ander Victore Avarez était un petit garçon déjà très mignon pour son âge avec des petites joues rondes et ces cheveux noir ébène effilés.
En grandissant il garda tout son charme enfantin avec un petit air rebelle qui plaisait beaucoup aux filles. En effet son physique faisait fureur et cela s’améliorait avec l’âge, toujours plus ! Il en jouait d’ailleurs quelque peut à sa jeune adolescence.
En grandissant il trouva cela ennuyant, voir blessant. Personnes ne s’intéressait à ce qu’était Ander à l’intérieur ? Il n’était apprécié que par son charme et son sex-appeal envoutant.
Aujourd’hui Ander reste un superbe jeune homme. Il est grand (1m82), musclé et la peau dorée. Ses cheveux son noir ébène, un peu en bataille à la rebelle et brillants. Ses yeux sont également noirs et conserve un air triste et dur. Un nez et une bouche comme tout le monde mais aller savoir peut être plus beaux que la normale (xD). En tout cas un superbe sourire qu’il est rare de percevoir, une parfaite dentition et des dents blanches colgate ! Je ne vous raconte même pas les plaquettes de chocolats (<3)
Au niveau vestimentaire, Ander est plutôt classique. Il met des chemises aux couleurs discrètes et un jean ou pantalon en toile.
Le jeune homme ne possède qu’un seul tatouage sur son biceps gauche représentant un dragon enchaîné.
Il à également de nombreuses petites cicatrices au niveau du torse, des bras et du visage mais qui restent plutôt discrètes de part leur bonne cicatrisation.

Ander ne mérite nullement sa place ici à Anguish. Il a été jugé pour un viol et agression qu’il n’a pas commis, puis pour le meurtre de ses propres parents, qu’il n’as pas commis non plus. Et pour couronner le tout le voilà maintenant accusé du meurtre de la jeune femme avec qui il à passé la nuit dans cet hôtel. Ce viol il avait tout essayé pour sauver cette jeune fille mais il avait été rapidement maîtrisé et mis à l’écart. Il n’avait rien pu faire d’autre que de devoir assister à cette horrible scène. Heureusement elle n’avait pas été tuée. Et lui avait été battu et abandonné dans une ruelle dans un tas de vieilles poubelles…
Lorsqu’il appris le meurtre de ses parents à peine une heure après sa visite chez eux il se sentit véritablement coupable. Il aurait dû voir quelque chose, il aurait dû être là pour eux. Le meurtrier courrait toujours et aucune preuves intéressantes n’avait été collectées. De toute manière il restait principal suspect encore à ce jour. Mais sans preuve il restait libre.
Quelques années plus tard, il devra subir des heures et des heures de questions et d’accusations. Les forces de police étaient persuadées de son coté sombre et machiavélique. Ridicule…
Ne pouvant rien obtenir de plus de lui sur cette affaire ci non plus, on décida d’aller l’enfermer dans un endroit où il croupirait sans qu’on ait besoin de prouver qu’il était le meurtrier de toutes ces personnes assassinées. Et voilà un dossier en moins a traiter pour la justice, et encore une âme innocente errant dans un endroit pire que l’enfer …